Après avoir lu des biographies des peintres impressionnistes, Édouard Manet, Paul Cézanne et Claude Monet qui dan leurs œuvres, définissent la forme par la couleur plutôt que par le dessin. J'ai commencé à expérimenter, à l'heure du dîner au bureau, avec des prises de vue au ¼ de seconde. Grâce à la surexposition, qui en résulte, elles donnent une symphonie de couleurs avec des formes à peine perceptibles. La forme reste présente, mais-au deuxième niveau. Ceci sera la base de mes prises de vue.
La couleur prend ici toute sa place et les formes sont au deuxième plan
La première présente les reflets des feuilles dorées dans l'eau vive du Richelieu, et la seconde, dans une baie où l'eau est calme, le saule pleureur offrait un spectacle magnifique.
C'est un point de vue privilégié sur le Richelieu, permettant des prises de vue sur l'eau et ses couleurs. Les perspectives sur les réflexions et le mouvement de l'eau forment une belle combinaison. L'ajout de la circulation automobile le rend très intéressant.
Sans filtre, le résultat est probant avec des couleurs très douces, mais bien définies.
J' y trouve quand même un certain sentiment d'accomplissement, puisque le processus commence à être plus prévisible.
Parfois la glace est bleue, on y s’attendait, mais parfois elle est jaune ou même verte.
Comme le rivage est parsemé d'arbres et arbustes, les branches en avant-plan font de beaux rideaux à la rivière.
Après une courte période, ou je trouvais que je ne me renouvelais pas du tout, alors que les jeux de lumières avec la neige la glace devenaient très répétitifs. le printemps hâtif ma permis de me réconcilier avec moi-même.
Les subtilités de tons des couleurs, qui passent du vert au mauve donnent à la composition un effet apaisant, tranquille et de serein.
- Otterburn Park Halte routière octobre 2012:
La couleur prend ici toute sa place et les formes sont au deuxième plan
- Entre Otterburn Park et St-Jean-sur-le Richelieu:
La première présente les reflets des feuilles dorées dans l'eau vive du Richelieu, et la seconde, dans une baie où l'eau est calme, le saule pleureur offrait un spectacle magnifique.
- Le pont Jordi-Bonet novembre 2011 :
C'est un point de vue privilégié sur le Richelieu, permettant des prises de vue sur l'eau et ses couleurs. Les perspectives sur les réflexions et le mouvement de l'eau forment une belle combinaison. L'ajout de la circulation automobile le rend très intéressant.
- Entre Beloeil et St-Roch-sur-Richelieu novembre 2011 :
- Otterburn Park, Pointe Valaine :
Sans filtre, le résultat est probant avec des couleurs très douces, mais bien définies.
- A Richelieu, décembre 2011:
J' y trouve quand même un certain sentiment d'accomplissement, puisque le processus commence à être plus prévisible.
- A mont-St-Hilaire décembre 2011:
- Fort Chambly, décembre 2011:
- McMasterville au coucher du soleil, janvier 2012 :
Parfois la glace est bleue, on y s’attendait, mais parfois elle est jaune ou même verte.
Comme le rivage est parsemé d'arbres et arbustes, les branches en avant-plan font de beaux rideaux à la rivière.
- Le pont de glace à Saint-Denis, février 2012:
- Otterburn Park, Pointe Valaine, mars 2012:
Après une courte période, ou je trouvais que je ne me renouvelais pas du tout, alors que les jeux de lumières avec la neige la glace devenaient très répétitifs. le printemps hâtif ma permis de me réconcilier avec moi-même.
- À Saint-Basile, avril 2012:
Les subtilités de tons des couleurs, qui passent du vert au mauve donnent à la composition un effet apaisant, tranquille et de serein.